La pire mission de ma vie n'est pas finie

Maggie a pris des vacances. Elle passe l'été tranquillement, à New-York, entourée de ses amis et de son petit ami. C'est l'occasion pour connaître la vie normale dont elle a tant rêvé. Mais un ennemi inconnu en veut à sa famille et elle est dans l'obligation de "reprendre du service". C'est donc reparti pour un tour pour notre jeune espionne !   

Ma chronique du premier tome ici. Comme à chaque chronique d'un second tome, vous vous exposez à un grand risque de spoiler.

Alors un petit recap : Maggie est une jeune espionne qui ouvre des coffre-forts comme toi tu manges des chips. Voilà ! Alors... Ce roman commence par une magnifique couverture. Rose, girly dans le même esprit que la couverture du premier tome.

Dans la première partie, l'auteur nous remémore les évènements du premier opus. J'ai lu ce deuxième tome dans la lignée du premier alors j'ai trouvé ce passage quelque peux agaçant. C'était long et on racontait beaucoup de chose que je savais déjà. Mais après cette partie là, la machine démarre, et ça commence à devenir intéressant. Sa famille est menacée et Maggie doit reprendre son activité d'espionne mais cette fois accompagnée de deux amis : Jesse et Roux. Les personnages secondaires ne sont pas délaissés et sont très bien travaillés. Mon préféré étant Angelo, mystérieux, il cache bien sa sensibilité. Maggie est son point faible, sa petite protégée depuis toujours. Il est très attentif à elle et prend garde à sa sécurité. J'ai aussi beaucoup aimé le personnage de Roux. Elle est drôle, attachante et j'ai adoré la relation qu'elle a avec Maggie.

La fin est mi-ouverte mi-fermée et ça m'a un peu dérangée, je suis un peu restée sur ma faim. Je ne pense pas qu'il y ait un troisième tome même si cette possibilité n'est pas exclue. La plume est simple mais efficace. Les pages se tournent sans problème même si il y a des petits "blancs"

Une belle lecture sur la même voie que le premier tome.

Note : 8 / 10

"C'est toujours perturbant de s'apercevoir que nos parents n'ont pas de réelle solution à apporter à un problème et qu'ils sont tout aussi perdus que nous. Ça les rend trop réels, trop humains, aussi faillibles que nous."